D’évidence depuis le début ce ce temps long qui nous est offert par la « crise sanitaire », je me plais à alterner les lectures. Certaines relèvent de la « Tempête sous un crane » comme le disait Victor Hugo à propos de Monsieur Madeleine au moment il hésite à se dénoncer et dévoiler sa véritable identité de Jean Valjean alors même que le pauvre Champmathieu risque la potence. C’est-à-dire ces romans éminemment psychologiques qui déploient les mondes intérieurs des personnages, qui mettent en évidence les subtilités et complexités de l’être humain.
D’autres lectures sont plus comme des fenêtres ouvertes sur le monde : romans d’aventure, contemporains ou non, histoires du passé, romans d’action, de tribulations, ou qui m’ouvrent sur un exotisme, un univers qui m’est inconnu.