Je me souviens des livres du Nord par lesquels il avait débuté son œuvre romanesque. Sans doute Luc Lang, à la fin des années 80, ignorait-il les traces qu’il ferait suivre à ses lecteurs, plus de trente ans après. Dans un essai publié en 2011, Luc Lang précise ce qui le tient au travail de la littérature, et ce qu’il entend comme projet et comme conduite de l’entreprise romanesque. Il faudra y revenir. Ce qui paraît sûr, ce sont les deux conditions que Luc Lang tient comme majeures pour ses fictions : des personnages, des lieux, et qui fondent une œuvre littéraire.
Luc Lang / Au commencement du septième jour / Stock
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