Thomas Hardy, les sœurs Brontë, William Thackeray, George Eliot ou encore Charles Dickens ne sont qu’une des facettes de la littérature britannique de l’époque victorienne. Celle du naturalisme qui suit l’époque romantique, celle d’un roman social et psychologique. Un roman de « cottage » dans des campagnes verdoyantes et de salons tout a fait « cosy », un roman dans lequel les drames se nouent et de dénouent à l’heure du « five o’clock tea ».
Mais à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle et jusqu’au début du XXe, L’Angleterre va voir s’épanouir une autre manière de faire du roman. Des histoires portées par un souffle aventureux, les livres ouverts sur l’immensité du territoire britannique : le Commonwealth, mais aussi des livres qui se veulent le reflet de l’industrialisation du pays.
Portrait of Henry James, huile sur toile de John Singer Sargent (1913)
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