Il est des photographes qui ne se paient pas de mots. Lors d’une soirée « privée » discrète, nous avons pu remarquer combien la voie tracée dès le début de sa pratique par cet ami de l’espace et du vide entrevus au travers des premiers plans continue dans le même registre.
Souvenez-vous : automne 2011 « Biz’art populaire » et les bâches tendues sur les murs de briques du jardin Raymond VI (depuis cette année les épreuves sont contrecollées sur dibond), l’année de la présence conjointe de Michael Kenna, Renato d’Agostin exposait pour la première fois à Toulouse.
L’intitulé de cette année-là : « Mélancolie ».
Le jeune photographe italien montrait alors une belle série dans un noir et blanc très contrasté appartenant à ses projets antérieurs concrétisés chaque fois par des livres, Metropolis et Tokyo untitled. Continuer la lecture