Trois hommes et trois femmes sont revenus le 28 août 2016 d’un mission d’un an lancée par la NASA l’agence spatiale américaine.
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Trois hommes et trois femmes sont revenus le 28 août 2016 d’un mission d’un an lancée par la NASA l’agence spatiale américaine.
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Après l’axolotl , voici le « mouton des mers », petite limace de mer qui semble tout droit sortie d’un dessin animé du japonais Hayao Miyazaki.
De son vrai nom Costasiella kuroshimae, qui signifie « mouton de feuille », on la trouve principalement sous les eaux du Japon, des Philippines et de l’Indonésie. Elle doit son nom à sa ressemblance troublante avec un mouton.
Crédits Image : Randi Ang
Crédit photos : huffingtonpost.fr
Cet animal, dont les dimensions ne dépassent pas les 5 mm, est l’unique espèce capable de synthétiser de la matière organique en utilisant la lumière du soleil (plus connu sous le nom de photosynthèse). Ce phénomène, habituellement réservé aux plantes, est dû aux transferts des gênes de la grande quantité d’algues qu’elle consomme.
Lorsqu’elle avale la plante marine, elle aspire le chloroplaste et l’incorpore à son propre organisme à l’aide d’un processus nommé kleptoplastie. C’est ce qui lui permet de briller dans le noir lorsqu’elle se nourrit.
Ce cabinet de curiosités nous emmène cette fois-ci au Turkménistan : Pays d’Asie Centrale coincé entre l’Iran et l’Ouzbékistan.
Nous sommes plus précisément dans le désert de Karakoum.
Imaginez un désert, aucun arbre à l’horizon, une chaleur torride pendant la journée et lorsque la nuit tombe, vous apercevez ce que vous n’aviez pas remarqué : un brasier rougeoyant appelé par les autochtones « La porte de l’enfer ». Pourquoi? Parce que ce cratère brûle depuis maintenant 45 ans…
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« Ce cratère brûlant est né accidentellement en 1971. Des géologues russes pensaient que la région était riche en gaz naturel, et des forages d’essai furent entrepris. On trouva effectivement du gaz naturel, en quantité importante, et des projets furent élaborés en vue d’un exploitation à relativement grande échelle. Mais un jour, le sol s’ouvrit comme une large bouche souriante sous le puits de forage, sur plus de 60 mètres de long et 20 en profondeur. Des gaz malodorants affluaient du cratère. Tous les forages expérimentaux furent repoussés jusqu’à nouvel ordre, les scientifiques plièrent bagage et le camp fût démantelé. Pour atténuer un peu le préjudice causé aux populations locales, qui devaient se boucher le nez à plusieurs kilomètres à la ronde à cause de cette odeur pestilentielle de gaz, on décida d’enflammer le gaz. Les géologues pensaient que les flammes s’éteindraient d’elles-mêmes au bout de quelques jours. »
Extrait de « Sovietistan Un voyage en Asie centrale«
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Plusieurs décennies plus tard, le cratère brûle toujours….
Les autorités politiques en place ont décidé, il y a quelques années, de refermer la « Porte de l’Enfer », mais pour l’heure toujours aucune mesure n’a été prise…
Pour feuilleter et découvrir le livre rendez vous sur la page de la librairie
Rue des Gestes est non seulement le lieu d’une partie de notre librairie, c’est aussi le nom que nous avons donné à la (toute) petite maison d’édition que nous avons liée, voici deux ans, à Ombres blanches.
Quatre livres ont paru sous cette enseigne des Gestes.
Psychanalyse et humanisme, un court et brillant essai du psychanalyste toulousain Henri Sztulman remet les théories de Freud en perspective avec les courants humanistes anciens qui les fondent. Continuer la lecture